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CORRESPONDENCIA

Miércoles, 13 de Mayo de 2020

 El texto en español

Dans un précédent article publié par opuslibros le 9 février 2015, peu avant sa béatification en mai 2015, j'essayais de retracer les rapports compliqués entre l'Opus Dei et Mgr Oscar Romero, canonisé depuis lors, le 14 octobre 2018, en même temps que le Pape Paul IV.

En ces temps troublés d'épidémie, je suis repassé sur ces dossiers et j'ai ainsi redécouvert un article paru sur le site officiel de l'Opus Dei au moment de la béatification en mai 2015.

Cet article reprend les souvenirs de Mgr Joaquín Alonso qui a rencontré Mgr Romero à Rome entre le 30 octobre et le 8 novembre 1974, ce dernier jour étant l'occasion d'une rencontre d'une heure entre Mgr Romero et le fondateur de l'Opus Dei. On retient de cette rencontre une grande cordialité et même complicité entre les deux hommes.

Mgr Alonso revient également sur la rencontre dont je faisais état dans mon article précédent, le 26 juin 1978. A cette époque, Mgr Romero était venu à Rome pour clarifier de graves problèmes de son diocèse et pour cela, comme consigné dans son journal, il a rencontré, je me répète, le Père Arrupe, supérieur des Jésuites (deux fois), Mgr Baggio, Mgr Nicolo, Mgr Garrone, Mgr Javierre, Mgr Casaroli, le cardinal Pironio, la commission Justice et Paix et bien évidemment le pape Paul VI, qui le comprend et l’appuie. Il n'y avait par contre aucune mention d'une visite à Villa Tevere, et je m'en étonnais, surtout que ce séjour à Rome, le 26 juin, était concommittant avec le troisième anniversaire du décès de Mgr Escriva.

Le site officiel de l'Opus Dei comble en partie ce vide. Mgr Romero serait donc bien venu à Villa Tevere le 26 juin. Mgr Alonso témoigne:”Il est venu célébrer la Messe dans la crypte de Sainte Marie de la Paix, où reposaient alors les restes du fondateur. Mgr Vives et moi étions ses assistants. Il a prononcé une brève homélie, pleine d'affection et de reconnaissance envers saint Josémaria, affirmant que dès le premier moment où ils ont fait connaissance, il s'est senti considéré comme un frère. Il a consigné ces paroles dans une lettre.“

Pourquoi Mgr Romero n'en parle-t-il pas dans son journal? A-t-il aussi rencontré le Président de l'Opus Dei de l'époque, Don Alvaro? Si oui, que se sont-ils dit? Dans son journal, Mgr Romero s'étend sur ses multiples conversations avec les supérieurs religieux à Rome. Mais rien sur cette rencontre du 26 juin au siège de l'Opus Dei.

Un des soucis de Mgr Romero était l'articulation des différents mouvements religieux actifs dans son diocèse avec la direction dans laquelle l'Archevêque voulait aller. Serait-ce le point de blocage?

Un élément manquant est la lettre dont fait mention Mgr Alonso. 'Il a consigné ces paroles dans une lettre”. Il serait intéressant de publier cette lettre de Mgr Romero. Mais l'Opus Dei ne le fait pas. Pourquoi?

A ce sujet, une autre lettre qu'il serait intéressant de publier est celle dont je faisais référence dasn mon article de 2015, une lettre soi-disant “affectueuse” mais jamais rendue publique:

 C’est dans ce contexte que se situe la lettre de Don Alvaro à Mgr Romero, le 9 novembre (Vatican Insider 10-3-2014). Beaucoup d’évêques sont opposés à la tentative de l’Opus Dei d’échapper à leur tutelle et de devenir une prélature indépendante. Don Alvaro écrit donc (entre autres) à Mgr Romero pour le rassurer de ses bonnes intentions, «l’Opus Dei tirant la charrette dans la même direction que l’évêque du diocèse». Présenter cette lettre comme une lettre affectueuse à l’occasion des 50 ans de l’Opus Dei ne tient pas la route. Ne fut-ce que par la date: le cinquantième anniversaire de l’Opus Dei date de plus d’un an! Et comme la lettre de Don Alvaro est la réponse à une lettre «affectueuse» de Mgr Romero, pourquoi ne publie-t-on cette lettre «affectueuse»?

Ou peut-être s'agit-il d'une seule lettre?

Si quelqu'un veut faire oeuvre d'histoire, il y a donc matière à investigation.

Et évidemment, la question d'importance: Mgr Romero a-t-il été membre de l'Opus Dei? Comment a-t-il été accueilli à Rome durant son séjour d'une semaine en octobre et novembre 1974? Est-il devenu le premier membre à avoir été canonisé non seulement malgré qu'il ait quitté l'Opus Dei, mais surtout parce qu'il l'a quitté et a ainsi pu agir suivant sa conscience?

Mgr Romero et Mgr Escriva ont tout deux été canonisés. Ils sont donc donnés en exemple et leur histoire appartient à tous les chrétiens. Ces questions sont donc légitimes.

Homère

Buenos dias a los lectores de esta web.

Estamos pasando por el COVID, cuyos efectos ya se conocen. Me llama la atención un efecto poco valorado, consecuencia directa del COVID. La cancelación de las actividades proselitistas del Opus Dei.

La mas destacable, es la convivencia en Roma llamada UNIV. Según mis estimaciones personales unas 100 personas de las más "superpitables" iban a asistir. Acompañados de unos 400 "numerarios/as" que se encargan directamente de hacerles proselitismo. (En el argot interno se dice: "que les tratan").

!Cuantas falsas vocaciones se han salvado!

Una gran mentira se ha evitado proclamar a aquellos jovenes que se hubieran incorporado a la obra. Y digo mentira, porque no se les dice toda la verdad antes de incoprorarse. ¿Cuánto sufrimiento para después marcharse en un estado psiquico deplorable y confundido? ¿Cuánto sufrimiento posterior para recuperarse a sí mismos? Y lamentable también, ¿cuántas perdidas de fe?, como consecuencia de lo vivido en el Opus Dei. Esa fe "exigente" y de mascarilla; sin dejar entrar al Dios misericordioso e interiorizado, un Dios personal. Una fe excluyente, de blanco o negro. (Más sobre esto en: Jesus Urteaga: capitulo final del Valor Divino de lo Humano. Libro leido en todas las convivencias de proselistimo con jovenes).

A partir del COVID, se acabarán esas meditaciones de adolescentes o adultos agrupados en un oratorio cerrado. Se acabarán los circulos en salitas pequeñas. Se acabarán las actividades proselitistas que no guarden un distanciameinto social. Se acabarán las tertulias pirata en dirección. Y espero que se acabe una de las prácticas más socavantes que una institución de la Iglesia permite hacer: Proselitismo. (Veanse los puntos de Camino sobre proslitismo y la "Instrucción sobre el mode de hacer proselitismo" y otra con las mismas directrices para los sacerdotes).

Quizas lo que la Iglesia no ha sabido parar, el COVID lo pare en seco. A Dios gracias. Y que el Espiritu Santo pueda entrar en los corazones sin chaquetas de fuerza.

Salud (100% literalmente), a todos y todas.

Hormiguita

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