CORTÁZAR, Julio

Alguien que anda por ahí

Ed. Alfaguara S.A., 3ª ed. Madrid 1984, 231 pp.

INTRODUCTION

Recueil de onze contes, dont le dizième donne le titre de l'ensemble. Les contes ou nouvelles nous apparaissent sans lien commun, l'auteur mis à part.

L'on pourrait cependant les classer d'après les thèmes, les questions qu'ils posent:

a) nouvelles qui se rapportent aux problèmes du couple Les rapports homme-femme chez Cortázar sont marqués par l'échec, l'impossibilité d'arriver à une situation stable:

b) nouvelles dont le thème est le conflit de générations;

c) nouvelles politiques, les plus nombreuses, toujours situées en Amérique latine (Cuba, Nicaragua, Argentina).

Deux nouvelles sont difficiles à classer, car leur sujet est plus psychologique: La Barca et Reunión con círculo Rojo.

D'une manière générale, Cortázar joue sur l'ambigüité: le non-dit a plus d'importance que ce qui est dit. Le dénouement est très rapide et presque toujours négatif. Il joue avec les personnes grammaticales qu'il change pendant le récit. Le narrateur est tantôt omniscient, tantôt absent. Jeu perpétuel entre la réalité et l'apparence. Il veut montrer les conflits, les frustrations, les problèmes du manque de communication, la solitude. Sobriété du style: rien n'est en trop. Récit laconique.

RESUME DES CONTES

1. CAMBIO DE LUCES   Tito Barcarcel, acteur de feuilletons radiophoniques, reçoit un jour la lettre d'une admiratrice (Luciana). Cette lettre le surprend énormément, car il joue habituellement le rôle du méchant et il n'est pas très populaire parmi le public. Peu de temps après, il reçoit une nouvelle lettre. A partir de ce moment-là, Tito, homme solitaire, commencera à imaginer sa correspondante: "claro que lo era, escribí, como si esa mujer que imaginaba mas bien chiquita y triste y de pelo castaño, con ojos claros" (p. 15).

Finalement il la rencontre et se rend compte que Luciana est loin d'être la femme qu'il avait imaginée. Elle aussi l'avait imaginée différemment: "casi al final me dijo que me había imaginado mas alto, con pelo crespo y ojos grises" (p. 21).

Tito et Luciana vont habiter ensemble et Tito va essayer de transformer Luciana en la femme qu'il avait conçue avant de faire sa connaissance. Lorsque Luciana (la vraie) lui semble plus proche de la Luciana imaginaire, son amour pour elle s'accroît.

Le conte finit lorsque Tito découvre un jour les relations de Luciana avec une homme "mas alto que yo", "de pelo crespo" (p. 27). Conte qui veut illustrer la dycotomie entre réalité et fiction.

2. VIENTOS ALISIO   Mauricio et Vera veulent tenter une nouvelle expérience après vingt ans de monotone vie matrimoniale. Ils décident de partir séparément en vacances et de se comporter comme de parfaits inconnus, "divertirse con el absurdo total de partir en diferentes aviones y llegar como desconocidos al hotel" (p. 32) Avant leur départ, ils établissent les règles du jeu: pas de reproches, pas de censure, profiter de l'été au maximum. Ils partent pour Nairobi où ils vont mettre en oeuvre leur plan. Mauricio connaîtra Anna, et Vera, Sandro.

L'aventure se déroule comme prévu; sans tabous, sans scrupules, ils mettent en pratique la théorie de l'amour libre née en mai 1968. L'heure du retour arrive, mais les rapports ne sont plus les mêmes, il y a quelque chose qui s'est brisé entre les deux: "llevarse como antes les llenaba de algo para lo que no había palabras y que los dos callaron entre tragos y anécdotas..." (p. 40). Cortázar passe à raconter ce que sont devenus Anna et Sandro; le lecteur apprend alors qu'il s'agit d'un couple qui a voulu vive la même expérience que Vera et Mauricio.

Ils sont en train de se demander quelle peut bien être l'attitude de Vera et de Mauricio, après les vacances, et ils arrivent à la conclusion qu'ils choisiront la même issue qu'eux: le suicide. Immoralité totale du conte dans le récit des rapports sexuels, le suicide. Influence existentielle de mai 1968.

3. SEGUNDA VEZ Conte politique qui se déroule à Buenos Aires pendant la période des desaparecidos (1976-1983).

Le conte commence par le récit, à la première personne du pluriel, de activités d'un bureau administratif, récit où Cortázar donne des indices qui aideront à expliquer la suite: "no más que los esperábamos, cada uno tenía su fecha y su hora" (p. 47); "lo único que les pido es que no se me vayan a equivocar de sujeto" (p. 47). Ces indices se mêlent à des anecdotes de ce qui constitue la vie d'un bureau: le café, le football, le journal.

Apparaît ensuite le cas concret de Maria Elena, qui a reçu une convocation à ce bureau. Dès le début, elle est étonnée: il n'y a pas, à sa connaissance, de ministère à cet endroit, il n'y a pas de drapeau à la porte, c'est un quartier isolé, un bâtiment avec une entrée principale très étroite, sans ascenseur ni plaque à l'entrée. Maria Elena pénètre dans la salle d'attente, où se trouvent "las dos señoras ancianas, el señor calvo y el muchacho de la corbata verde".

Bientôt ils commencent à se parler, alors Maria Elena apprend que tous sont là pour le premier jour, sauf le jeune homme à la cravate verte. Celui-ci leur donne des explications sur l'entretien: la durée, les questions, les papiers à fournir. Peu à peu la pièce se vide, Maria Elena et Carlos (le jeune homme) restent seuls, ils commencent à parler de choses plus personnelles: "a Maria Elena le gustaba seguir charlando con el muchacho" (p. 53).

Jusqu'à ce que le tour de Carlos arrive. Maria Elena attend de voir sortir Carlos, mais celui-ci ne sort pas; son tour arrive et elle se demande où est passé Carlos, car il n'est pas dans le bureau. Il y a une sensation d'étrangeté qui ne la quitte pas:  "entre dos palabras María Elena sintió como que algo le molestaba, algo que no estaba del todo claro" (p. 55). Elle remplit le formulaire, répond aux questions sur la profession, la famille, "si viajaba con frecuencia y a donde, si había sacado pasaporte o pensaba sacarlo" (p. 56). Finalement elle est convoquée pour trois jours plus tard.

Dans la rue, Maria Elena attend pour voir si Carlos sort; fatiguée d'attendre, elle finit par partir, mais Cortázar met sur ses lèvres les mots clés: "aunque a lo mejor había una puerta disimulada por los carteles, algo que se le había escapado".

Le récit reprend à la première personne du pluriel, nous paraout avoir la réponse aux questions de Maria Elena: "Ella no, claro, pero nosotros si lo sabíamos" (p. 57).

Conte sans problème du point de vue moral. L'art de Cortázar arrive à suggérer sans nommer, ni préciser des détails.

4. USTED SE TENDRA A SU LADO   Le conte est le récit d'une anecdote reelle, racontée à Cortázar par sa protagoniste.

Denise, pendant des vacances au bord de la mer, ressent pour là   première fois que son fils est en train de devenir un homme. Ce changement qu'elle remarque chez son fils atteint aussi sa vie mentale. Pendant les vacances Roberto a connu Lilian. Denise sail qu'il faut que son fils franchisse l'étape des relations sexuelles pour que le changement soit complet. Elle veut aider Robert à faire ce saut, mais sans qu'il fasse de bêtises; pour cela elle va lui acheter des préservatifs: ce sera la dernière fois qu'elle interviendra dans la vie de Roberto, qu'elle lui viendra en aide; "ahora cada uno por su lado... esta vez ha sido la última".

Cependant Denise ressent la solitude de la mère qui voit que son fils s'éloigne définitivement. Finalement l'expérience de Roberto échoue à cause du refus de Lilian. Denise est furieuse mais elle se rend compte en même temps que son fils a encore besoin d'elle, que la limite de l'adolescence n'est pas encore franchie.

Immoralité totale d'une mère qui conseille la sexualité sans amour, mettant à la portée de son fils les moyens de contraception. La mère est douteuse du point de vue moral, on ne sait pas s'i s'agit d'une divorcée ou d'une mère célibataire. Description de l'acte sexuel entre les deux jeunes.

5. APOCALIPSIS EN SOLENTINAME   Récit politique écrit à La Havane en 1976. Cortázar en est le protagoniste; c'est donc une histoire auto-biographique. Il raconte un voyage ralisé en Amérique centrale (Costa Rica, Nicaragua) où il rencontre des personnalités telles qu'Ernesto Cardenal, José Coronel Usteche, Roque Dalton, Gertrude Stein et d'autres.

Ils partiront ensemble à Solentiname (Nicaragua), communauté sandiniste. Là Cortázar voit des peintures faites par les Indiens, il est fasciné et décide de les photographier. Arrivé à Paris, après son séjour à Cuba, il va voir les diapositives de son voyage, mais quelle est sa surprise lorsqu'au lieu de voir les tableaux des Indiens il contemple des scènes de la répression et de la torture des militaires en Amérique latine. Claudine, son amie, arrive ensuite, et commence à regarder les diapositives, mais maintenant les tableaux apparaissent sur l'écran. Le conte s'achève là.

Il y a un passage où Cortázar fait l'apologie de la théologie de la libération : "la Misa de Solentiname, en la que los campesinos y Ernesto y los amigos de visita comentan juntos un capítulo del evangelio, que ese día era el arresto de Jesús en el huerto, un tema que la gente de Solentiname trataba como si hablaran de ellos mismos" (p. 99). Cortázar apparaît lié au marxisme cubain et a sandinisme. Le conte est une critique des dictatures militaires d'Amérique latine.

6. EN NOMBRE DE BOBY  Le récit est raconté par la tante de Boby, qui habite avec sa soeur divorcée et son neveu. La tante a remarqué chez l'enfant une regard bizarre envers sa mère, ce regard et la question de Boby à sa mère "pourquoi elle était méchante avec lui, le soir pendant qu'il dormait" sont le leit-motiv du conte. Boby a des cauchemars où il voit sa mère le tuer avec un couteau.

L'ambigüité du conte vient de l'attitude de la tante : d'une part elle défend sa soeur, de l'autre elle se sert des cauchemars de Boby pour gagner son affection. Ainsi le récit est la jalousie d'une femme sans enfants, qui désire que son neveu l'aime de façon exclusive.

Elle ne prend pas les moyens pour que Boby guérisse; elle ne parle pas à sa soeur des cauchemars.

A la fin le lecteur ne sait pas si l'enfant se venge de sa mère en la tuant avec un couteau. L'ambigüité est totale, chacun peut penser ce qu'il veut. Tentative freudienne de Cortázar; il essaye d'illustrer l'importance du rêve.

7. LA BARCA O NUEVA VISITA A VENECIA Ici Cortázar critique un conte qu'il écrivit vingt ans plus tôt. Mais ce sera un des protagonistes, Dora, qui introduira ses commentaires au long du récit pour expliquer, nuancer ou contredire l'auteur.

C'est le écrit le plus long du recueil. "Lo que sigue es una tentativa de mostrarme a mi mismo que el texto de La Barca está mal escrito porque es falso" (p. ll0).

L'histoire est la suivante : Valentina et Dora se rencontrent pendant un voyage en Italie. Elles décident de poursuivre le voyage ensemble, Valentina vient de divorcer à Montevideo, son voyage est la fuite d'une réalité dure à assumer. A Rome Valentina connaît Adriano; celui-ci devient amoureux d'elle mais pour elle ses relations avec Adriano sont un amour de vacances. Face aux intentions d'Adriano, Valentina a peur et décide de quitter Rome et de partir seule à Venise. Un jour elle prend une gondole pour se promener par les canaux de Venise. Le gondolier lui montre les endroits cachés, peu touristiques. Ils sympathisent et le gondolier l'emmène déjeuner chez lui, mais près le déjeuner il la viole. Valentina n'est pas du tout fâchée, la seule chose qu'elle regrette c'est la brutalité de l'acte : "el recuerdo no era penoso". "En realidad no lamentaba nada que no fuera la falta de gracia de la aventura" (p. 143).

Dora arrive à Venise, pendant le petit-déjeuner, à l'étonnement de Dora, le gondolier (Dino) vient chercher Valentina; Elle résiste mais finalement part avec lui et se laise faire. Rentrée à l'hôtel elle apprend qu'Adriano est à Venise. Mais Valentina est fatiguée de s'enfuir, "estaba harta de huir de la nada, de no saber de que huía" (p. 149); elle décide de parler avec Adriano, pour tirer les choses au clair. Adriano insiste sur la cruauté de Valentina, celle-ci essaye de lui expliquer la raison de sa fuite: "me fui porque eso no tenía sentido" (p. 155). La discussion se fait de plus en plus violente et inutile. Arrivés près du cimetière, ils voient passer une gondole avec un mort. Valentina reste stupéfaite devant cette vision de la mort, d'autant plus que Dino est le gondolier. Adriano est fou de jalousie et il est violent avec elle qui ne bouge pas.

Finalement, on croit comprendre qu'Adriano sort un revolver pour tuer Valentina ou se tuer, mais c'est très ambigu. "Sintió que Adriano hacía un movimiento como para sacar algo, quizá los cigarillos" (p. 160). Parallèle à celle-ci, l'histoire de Dora qui en apparence n'est qu'une spectatrice de l'aventure de Valentina, mais à travers ses commentaires on découvre qu'elle aussi est amoureuse de Valentina et jalouse de Dino et d'Adriano.

Les personnages sont d'une immoralité totale. Valentina a une liberté sexuelle remarquable. Dora s'avère être une homosexuelle. Dino profite de son métier por violer les femmes. Adriano est un parfait play-boy qui commet l'imprudence de tomber amoureux de Valentina.

8. REUNIÓN CON UN CÍRCULO ROJO   Dedicacé à Jacobo Borges, peintre mexicain. J. Borges de passage dans une ville allemande, un soir de pluie, va dîner dans un restaurant appelé Le Zagreb.

Cortázar reflète d'abord les impressions du personnage face à la scène du restaurant vide, silencieux, créant une ambiance phantastique. Soudain un nouveau    client arrive, il s'agit d'une touriste anglaise, un peu myope. L'homme s'amuse à regarder les gestes maladroits de sa voisine, mais remarque en même temps les regards perçants des garçons et de la serveuse du restaurant; il commence à penser qu'un danger menace la touriste: "la miraban de una manera, que a usted le pareció demasiado intensa en todo caso injustificada" (p. 167). Il décide alors de quitter le restaurant en même temps que la touriste pour ne pas la laisser seule face à ce danger La touriste sort et le protagoniste la suit, sans trop savoir pourquoi. "No se trataba de entender nada, todo era un simple bloque, una evidencia sin razones, la había salvado".

Tout à coup, la touriste disparaît, il attend sans voir personne et il décide, après avoir tourné l'angle d'une rue, de revenir au restaurant. Là, il comprend que la touriste anglaise était là pour le protéger, mais qu'il n'a pas su le comprendre. "Cómo podía yo saber que usted iba a pensar lo que penso de mí, y que iba a tratar de protegerme, yo que estaba ahí para conseguir que lo dejaran irse" (p. 174).

Le conte est en fait le récit d'une angoisse et a un intérêt suspendu qui augmente au fur et à mesure que le récit avance. Pas de problème du point de vue moral.

9. LAS CARAS DE LA MEDALLA  Récit des amours impossibles de Xavier et de Mireille, fait par Xavier. Un homme et une femme unis par leur travail, leur amour de la musique, leur manière de vivre, mais malgré cela quelque chose se brise lorsque le désir de Xavier ne peut pas se réaliser, à cause de l'opposition de Mireille. Ils n'arriveront jamais à faire l'amour à cause d'un respect, d'une pudeur qu'aucun des deux ne pourra dépasser: "habíamos avanzado por un camino en el que ninguno había querido forzar la marcha, quebrar la armoniosa paridad" (p. 186).

Le conte est complètement amoral. Xavier est marié à Londres, mais son mariage est un échec; ceci vient justifier ses aventures. Ils fondent la solidité de leur amour sur une épreuve: faire l'amour. Mais cette épreuve ne sera jamais franchie. Cortázar fait un récit minutieux des amants pour dépasser "cette étape fondamentale à la réussite de son amour".

10. ALGUIEN ANDA POR AHÍ  Conte qui donne son titre au recueil. Dédicacé à Esperanza Machado, pianiste cubiane. Le récit se situe à Cuba; il raconte l'histoire d'un terroriste cubain payé par les Etats-Unis qui débarque à Cuba pour placer une bombe à Santiago. A l'hotel, Alfonso, un compagnon de lutte, l'attend pour l'aider à mener à bien sa mission. Ils vont passer pour de parfaits communistes. A l'heure du dîner, Alfonso s'en va, il reste seul dans la salle-à-manger avec un homme qui le regarde avec insistance, "y más allá un hombre que parecía extranjero y que bebía sin mirar su vaso" (p. 205)

Monté dans sa chambre, il se couche. Soudain il sent quelqu'un au pied de son lit c'est l'homme qui l'avait regardé. Celui-ci apparaît comme un fou qui a tué Alfonso et qui va tuer le protagoniste. En même temps Cortázar joue avec l'ambigüité: "esta noche me hubiera gustado que tocara ese estudio que llaman revolucionario" (p. 210). On ne sait pas si l'étranger est un révolutionnaire (castriste) ou un vrai fou. Avec ce conte Cortázar veut montrer que l'écrivain ne doit pas être lié à un système politique. Il n'y a pas de problème du point de vue moral.

11. LA NOCHE DE MANTEQUILLA  Lors d'un combat de boxe organisé à Paris par Alain Delon, deux groupes de terroristes latino-américains se rencontrent. Pendant le combat entre l'argentin Monzón et le mexicain Mantequilla, Estevenez doit rencontrer Walter, glisser un paquet dans, sa serviette et le quitter comme s'il lui était inconnu. Tout le récit est centré sur les impressions d'Estevenez sur le combat, l'ambiance, le public, et aussi sur Walter qui lui apparaît comme une énigme: "Estevenez se preguntó si será un compatriota" (p. 220); "desde luego no era argentino porque entonces, pero el acento, clavado un uruguayo" (p. 221). Le combat finit, à la sortie, Peralta, le chef du groupe de terroristes attend Estevenez. Il lui apprend alors que l'homme à qui il a passé le paquet n'était pas Walter mais un terroriste ennemi. La conclusion c'est qu'il faut tuer Estevenez pour qu'il ne puisse pas trahir comme Walter qui avait donné aux ennemis des indications précises sur le plan de Peralta. Alors Estevenez meurt d'un coup de pistolet, donné par ses propres compagnons: "ahora mismo, dijo Peralta, sacando la pistola" (p. 231). Atmosphère de violence, de lutte crée par la boxe, comme un cache à la violence interne du récit. Système où aucune faille n'est permise. Grand pessimisme.

 

                                                                                                                 N.N. (1986)

 

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